L’aide que le Maroc accordait aux groupes islamiques armés (GIA) au début des années 1990, comme l’a révélé Abdelhak Layada, premier «émir» national de cette organisation, semble bénéficier aujourd’hui au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). L’organisation a changé de nom, mais pas les dessous de cette «coopération» qui a pour buts de mettre à mal l’Algérie et de saper les efforts qu’elle fournit pour la stabilité de la région du Sahel. Par ricochet, cette collusion d’intérêts sert à perpétuer la colonisation du Sahara occidental. Des convergences entre le Maroc et le GSPC, malgré leur caractère confidentiel, trahissent cette «coopération» qui arrange les intérêts des deux parties.
Des observateurs avertis de la scène sécuritaire citent l’exemple de la menace proférée récemment par le GSPC contre l’Afrique du Sud, qui, pourtant, n’a jamais attaqué l’islam.
Le GSPC, qui n’a jamais revendiqué un attentat terroriste perpétré au Maroc, se couvre derrière l’événement qui se déroulera dans le pays de Nelson Mandela pour menacer ce pays. Selon les observateurs, le dossier sahraoui n’est pas étranger à ces menaces.
En effet, l’Afrique du Sud reconnaît depuis 2004 la RASD et lui apporte un soutien politique important. Les observateurs soulignent également la facilité avec laquelle le GSPC réussit à se procurer et à faire transiter des armes à partir du Maroc pour les utiliser dans ses attentats en Algérie.
Cela s’ajoute à l’interaction entre le terrorisme et le trafic de stupéfiants dans la région du Sahel et la facilité avec laquelle des narcotrafiquants marocains inondent le territoire algérien en quantités importantes de drogue.
La collusion d’intérêts entre le Maroc et le GSPC est étayée par d’autres indices, et pas des moindres. Les autorités marocaines tentent, par tous les moyens, de faire croire que le Front Polisario est lié au GSPC. C’est ainsi que le Maroc a tenté de lier le Front Polisario à l’attentat terroriste perpétré par le GSPC contre la caserne militaire mauritanienne de Lemgheity. L’hebdomadaire marocain le Journal hebdomadaire a démonté cette calomnie et les autorités marocaines ont mis sous scellés cette publication.
Cette convergence d’intérêts entre le Maroc et le GSPC sape les efforts de paix dans la région du Sahel et œuvre à entretenir cette organisation criminelle pour faire du mal à l’Algérie et à la région toute entière.
L’aide que le Maroc accordait aux groupes islamiques armés (GIA) au début des années 1990, comme l’a révélé Abdelhak Layada, premier «émir» national de cette organisation, semble bénéficier aujourd’hui au Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). L’organisation a changé de nom, mais pas les dessous de cette «coopération» qui a pour buts de mettre à mal l’Algérie et de saper les efforts qu’elle fournit pour la stabilité de la région du Sahel. Par ricochet, cette collusion d’intérêts sert à perpétuer la colonisation du Sahara occidental. Des convergences entre le Maroc et le GSPC, malgré leur caractère confidentiel, trahissent cette «coopération» qui arrange les intérêts des deux parties.
Des observateurs avertis de la scène sécuritaire citent l’exemple de la menace proférée récemment par le GSPC contre l’Afrique du Sud, qui, pourtant, n’a jamais attaqué l’islam.
Le GSPC, qui n’a jamais revendiqué un attentat terroriste perpétré au Maroc, se couvre derrière l’événement qui se déroulera dans le pays de Nelson Mandela pour menacer ce pays. Selon les observateurs, le dossier sahraoui n’est pas étranger à ces menaces.
En effet, l’Afrique du Sud reconnaît depuis 2004 la RASD et lui apporte un soutien politique important. Les observateurs soulignent également la facilité avec laquelle le GSPC réussit à se procurer et à faire transiter des armes à partir du Maroc pour les utiliser dans ses attentats en Algérie.
Cela s’ajoute à l’interaction entre le terrorisme et le trafic de stupéfiants dans la région du Sahel et la facilité avec laquelle des narcotrafiquants marocains inondent le territoire algérien en quantités importantes de drogue.
La collusion d’intérêts entre le Maroc et le GSPC est étayée par d’autres indices, et pas des moindres. Les autorités marocaines tentent, par tous les moyens, de faire croire que le Front Polisario est lié au GSPC. C’est ainsi que le Maroc a tenté de lier le Front Polisario à l’attentat terroriste perpétré par le GSPC contre la caserne militaire mauritanienne de Lemgheity. L’hebdomadaire marocain le Journal hebdomadaire a démonté cette calomnie et les autorités marocaines ont mis sous scellés cette publication.
Cette convergence d’intérêts entre le Maroc et le GSPC sape les efforts de paix dans la région du Sahel et œuvre à entretenir cette organisation criminelle pour faire du mal à l’Algérie et à la région toute entière.
Par M. Abi
Le Jeune Indépendant, 29/4/2010
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